Congo/communication et médias : Un sabotage pérenne voué à rendre toujours inefficace la couverture médiatique des activités menées par le Chef de l'État son excellence Denis Sassou Nguesso dans les médias.

Un sabotage pérenne voué à rendre toujours inefficace la couverture médiatique des activités menées par le chef de l'État son excellence Monsieur Denis Sassou Nguesso dans les médias publics.

Depuis plus d'une décennie une tradition sinon un système peu orthodoxe démiettement des frais de missions affectés aux journalistes et techniciens des médias publics notamment télé Congo, Radio Congo, Télé diffusion nationale, Radio Brazzaville, Agence Congolaise d'information, groupe de presse la Nouvelle République, s'opère avec malice. 
Tenez : jadis, la couverture médiatique des activités de la présidence de la République à Brazzaville ou a l'intérieur du pays couvert par les médias ci-dessus cités du point de vue organisationnelles et technique se faisait avec méthode, transparence et efficacité. 
Chaque direction générale de ces structures à l'orée de la couverture médiatique des activités du chef de l'État faisait parvenir aux services financiers leurs états de besoins techniques des listes nominales des journalistes retenus. Ce faisant, pour des besoins de transparence et de traçabilité, chaque journaliste programmé d'aller en mission allait émarger à sa direction des affaires administratives et financières (DAAF).
Malheureusement, depuis les années 2013, 2014, 2015, jusqu'à nos jours les mécanismes ont changé le Fusil d'épaule.
Tout est centralisé au ministère de la communication et des médias. Les frais de missions et de séjours des journalistes sont gérés dans l'opacité sans précédent. 
Les journalistes vont en mission dans les conditions inacceptables, comparativement à leurs confrères des médias privés.
À titre illustratif, la dernière mission du chef de l'État dans le département de la Likouala, les journalistes de télé Congo, et Radio Congo, qui avaient affronté les péripéties de la route, tronçons Brazzaville-Ouesso et Ouesso Impfondo ont eu à chacun la somme de Quatre vingt dix mil (90.000 FCFA) comme frais de mission de trois jours au lieu de 168.000 FCFA à chacun.
Les exemples sont légion.
Dans le même ordre d'idée, dès la semaine prochaine du lundi 26 février 2024, le président de la République va entreprendre une intense activités dans la ville Océane pointe noire. Ces activités de grande envergure méritent pourtant une couverture médiatique riche et de taille par les médias publics qui accompagnent le exécutif dans ses réalisations, conformément au programme de société du Chef de l'État ""Ensemble Poursuivons la Marche"".
Mais Hélas, les manœuvres de tractations organisationnelles au niveau du ministère de la communication et des médias se font toujours montre .
À Radio Congo chaîne nationale par exemple, trois journalistes Reporters seulement en langue française, Linga et Kituba, sont retenus pour la mission de pointe noire.
Ces derniers seront au four et au moulin pour couvrir les activités du chef de l'État en assurant en même temps les directs et l'équipe légère, soit disant que le problème financier se pose avec acuité. 
Devant ce dilemme peut-on s'attendre à une efficacité ou simplement c'est du Sabotage qui ne dis pas son nom?
Les services publics compétents sont interpellés à mener des investigations sur la traçabilité des fond alloués aux médias d'État lors de la couverture médiatique des activités présidentielles afin que la presse qui est le quatrième pouvoir puisse exercer pleinement son rôle régalien dans un pays démocratique.